Jacques Rigaut : le suicidé magnifique / Jean-Luc Bitton ; préface de Annie Le Brun.

Por: Bitton, Jean-LucColaborador(es): Le Brun, Annie [prologuista]Tipo de material: TextoTextoDetalles de publicación: Paris : Gallimard , 2019 Descripción: 706 p. : il. ; 23 cmISBN: 9782072713224Tema(s): Rigaut, Jacques 1898-1929 | Suicidio -- Escritores | Literatura francesa -- 1900-1930 | Dadaísmo
Contenidos:
Préface d'Annie Le Brun : "Qui a tué qui ?" -- Chronologie -- "C'est comme ça et je vous emmerde." -- Le commencement -- Enfance & adolescence -- L'autre monde -- En avant Dada ! -- Dadaland -- Les saisons dada -- Le cadavre de Dada -- La valise vide -- Gotham City -- Madame Rigaut -- La Vallée-aux-Loups -- Le feu follet -- "Je serai un grand mort".
Resumen: Paris, novembre 1929 : les "Années folles" s'achèvent. Dans sa chambre d'une maison de désintoxication, un jeune homme se tire une balle dans le coeur. C'est Jacques Rigaut ; le plus beau, le plus radical des dadaïstes. Ce non-conformiste absolu avait prévenu : "Essayez, si vous le pouvez d'arrêter un homme qui voyage avec son suicide à la boutonnière." Tous ses amis écrivent, photographient, tournent des films : ils s'appellent René Clair, André Breton, Paul Eluard, Pierre Drieu la Rochelle, Man Ray ou Tristan Tzara. Lui, en dandy désinvolte, ne laisse que quelques fragments et des dettes. Après son mariage avec Gladys Barber, une riche héritière américaine, il vit quelque temps à New York. C'est en passant à travers un miroir, dans une villa de Long Island, qu'il fait la connaissance de son double littéraire : Lord Patchogue. De retour à Paris, brisé, Rigaut se perd dans les nuits du Boeuf sur le toit, la drogue, l'alcool et les femmes. Personne ne parvient à sauver le fondateur de l'"Agence générale du suicide". Des années plus tard, André Breton lui rend hommage dans son Anthologie de l'humour noir. Mais c'est surtout Drieu la Rochelle et Louis Malle qui le font entrer dans la légende : Le Feu follet, c'est lui. Rigaut n'est pas mort ; il hante toujours les avant-gardes et la contre-culture des deux côtés de l'Atlantique.
Etiquetas de esta biblioteca: No hay etiquetas de esta biblioteca para este título. Inicie sesión para agregar etiquetas.
Valoración
    Valoración media: 0.0 (0 votos)
Existencias
Tipo de ítem Biblioteca de origen Signatura Estado Fecha de vencimiento Código de barras Reserva de ítems
Monografías 06. BIBLIOTECA HUMANIDADES
929Rigaut/BIT/jac (Navegar estantería(Abre debajo)) Disponible   Ubicación en estantería | Bibliomaps® 3744747861
Total de reservas: 0

Préface d'Annie Le Brun : "Qui a tué qui ?" -- Chronologie -- "C'est comme ça et je vous emmerde." -- Le commencement -- Enfance & adolescence -- L'autre monde -- En avant Dada ! -- Dadaland -- Les saisons dada -- Le cadavre de Dada -- La valise vide -- Gotham City -- Madame Rigaut -- La Vallée-aux-Loups -- Le feu follet -- "Je serai un grand mort".

Paris, novembre 1929 : les "Années folles" s'achèvent. Dans sa chambre d'une maison de désintoxication, un jeune homme se tire une balle dans le coeur. C'est Jacques Rigaut ; le plus beau, le plus radical des dadaïstes. Ce non-conformiste absolu avait prévenu : "Essayez, si vous le pouvez d'arrêter un homme qui voyage avec son suicide à la boutonnière." Tous ses amis écrivent, photographient, tournent des films : ils s'appellent René Clair, André Breton, Paul Eluard, Pierre Drieu la Rochelle, Man Ray ou Tristan Tzara. Lui, en dandy désinvolte, ne laisse que quelques fragments et des dettes. Après son mariage avec Gladys Barber, une riche héritière américaine, il vit quelque temps à New York. C'est en passant à travers un miroir, dans une villa de Long Island, qu'il fait la connaissance de son double littéraire : Lord Patchogue. De retour à Paris, brisé, Rigaut se perd dans les nuits du Boeuf sur le toit, la drogue, l'alcool et les femmes. Personne ne parvient à sauver le fondateur de l'"Agence générale du suicide". Des années plus tard, André Breton lui rend hommage dans son Anthologie de l'humour noir. Mais c'est surtout Drieu la Rochelle et Louis Malle qui le font entrer dans la légende : Le Feu follet, c'est lui. Rigaut n'est pas mort ; il hante toujours les avant-gardes et la contre-culture des deux côtés de l'Atlantique.

No hay comentarios en este titulo.

para aportar su opinión.

Con tecnología Koha